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Crazy woman [PV Niva]

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Ven 16 Aoû 2019 - 0:00
Crazy womanQui aurait cru que revenir dans leur appartement miteux serait actuellement un soulagement ? Même le pire des taudis paraît chaleureux après manqué de se faire attaquer par un dragon. La présence d’Allie en était sûrement pour quelque chose aussi, Rosaria s’y était bien attachée à cette boule de poils. 

Mais la pause n’a pas duré bien longtemps, comme promis, Rosaria dû contacter Katerina pour lui demander de venir à Oslo. Niva voulait en profiter pour déménager, et il est vrai que leur appartement devenait assez petit pour tous les locataires qu’il accueillait. Katerina avait des affaires à régler dans les Philippines avant de pouvoir prendre un vol pour Oslo, ils avaient un peu de temps pour s’occuper de ça un peu plus tard. Enfin pas trop tard non plus, Katerina n’allait pas prendre une semaine pour venir. La brune se demandait bien ce que son amie pouvait fabriquer aux Philippines d’ailleurs, il faudrait qu’elle le lui demande.

La balade l’avait apaisé, malgré la course poursuite avec le dragon, elle ne ressentait plus le besoin de se plonger dans la magie nuit et jour. Maintenant qu’elle avait tout avoué à Niva, ils avaient un plan. Elle aviserait la suite une fois qu’elle aura eu l’avis de Kate, qu’ils attendaient tous les deux avec appréhension. Rosaria n’était pas sûre de ce que ça allait donner, mais elle préférait éviter de se donner de faux espoirs. 

Ce matin, il n'y avait qu’elle et Allie dans l’appartement, Niva étant allé faire les courses pour remplir leur frigo. Au lieu d’étudier encore un grimoire, Rosaria faisait un peu de peinture pour se détendre. Au moins elle évitait de s’inventer milles scénarios sur ce que Kate lui dirait, et ce qu’il se passerait si elle ignorait tout de ce rituel. Allie grignotait le morceau de saumon qu’elle lui avait donné, et ne daigna pas relever la tête quand la sonnette de l’appartement retentit. Rosaria posa son pinceau, méfiante. La dernière fois, c’était J qui s’était invitée. Devrait-elle prendre le fusil au cas où ? 

Rosaria se dirigea vers la porte et décida de regarder à travers l'œil de Judas, pour voir de qui il s’agissait. Personne de dangereux finalement, juste leur propriétaire casse pieds qui n’arrêtait pas de coller Niva. Avec un soupir, elle ouvrit la porte. Peut-être qu’elle était venue réparer cette fichue fenêtre qui ne fermait pas?

Ada Mortensen eut l'air déçue de la voir ouvrir la porte, et Rosaria leva les yeux au ciel en le constatant. Juste ciel, si elle courait après Niva jusqu’à chez eux maintenant.. 

« On a déjà payé les factures.
-Joshua est là ? Je dois le voir. »

La brune haussa un sourcil, sans comprendre. Elle n’aimait pas la propriétaire, mais là cette dernière agissait vraiment bizarrement, et ce n’était pas ses griefs personnels qui affectaient son jugement. Elle avait l’air d’une ado avant son premier rencard, et Rosaria avait une mauvaise impression dessus.

« Non. Tu ne vas pas commencer à venir le déranger jusque chez lui quand même ? »

Ils allaient partir de toute manière, mais ça l’énervait quand même. Ada la dévisagea, l'air profondément surprise. La voilà qui jouait les innocentes en plus, ce qu’elle pouvait avoir l’air stupide. 

« Qu’est-ce que tu veux dire, le déranger ? On ne se voit pratiquement jamais à cause de son travail, il est sûrement impatient de me revoir. »

Ok, elle était folle, c’était officiel. Qu’est-ce qu’elle pensait ? Qu’ils étaient un couple ?! Niva lui avait à peine parlé ! Et n’a-t-elle pas compris qu'ils avaient pris cet appartement en tant que couple ? C’était leur couverture en arrivant ! Une couverture plus si couverture que ça mais quand même.

« Je sais pas ce que tu as bu, mais Ni- Joshua est mon petit ami, pas le tiens, alors arrête de le coller. »

Ada fronça les sourcils, le visage déformé par l’incompréhension. Parfait, qu’elle reste dedans. Rosaria refermait la porte quand la blonde poussa dessus de toutes ses forces pour l’empêcher de la fermer.

« Tu es en train de dire qu’il me trompe ?! Tu mens, tu es juste jalouse ! Joshua ne ferait jamais ça, il m’aime. »

Elle ne s’attendait pas à ce qu’elle se mette à crier comme ça, et relâcha sa prise sur la porte sous la surprise. Ada entra dans l’appartement, semblant dorénavant furieuse. Elle pointa un index menaçant dans sa direction.

« C’est toi qui essayes toujours de l’éloigner de moi ! Je ne bouges pas d’ici jusqu’au retour de Joshua, je vais tout lui dire. »

Elle fonça dans la cuisine, telle une tornade, la laissant scotchée par ce qu’il venait de se passer. La proprio venait vraiment de s’imposer chez eux ?! Bordel.. 
Rosaria la suivit dans la cuisine, et la saisit par le bras. Ils n’avaient pas besoin de perdre du temps avec son histoire insensée.

« Ca suffit, tu sors de chez nous, tout de sui-
-Pourquoi tu cherches toujours à nous éloigner ?! »

Elle avait esquissé un rapide mouvement pour se saisir d’un couteau et l'abattre sur son bras pour se libérer de son emprise. Rosaria l'enleva juste à temps, sentant la lame lui effleurer un peu la paume de la main. Avec un cri, la blonde essaya de l’atteindre une deuxième fois, puis une troisième. 

La sorcière esquiva sans trop de difficulté, plus surprise qu’autre chose, mais ses réflexes étaient toujours éveillés heureusement. À sa troisième tentative, elle la saisit par le bras qui tenait le couteau, et la projeta violemment au sol, faisant voler le couteau loin d'elle. Sans réfléchir, Rosaria lui croisa les bras dans le dos pour l’immobiliser, à califourchon sur elle. Seulement là, elle s’autorisa à respirer de nouveau.

Elle ne s’était pas retrouvée dans un combat avec une arme blanche depuis un moment. Ada tentait de se dégager tant bien que mal, avant de brusquement fondre en larmes en voyant que ça ne marchait pas. Rosaria eut envie de s'arracher les cheveux quand la blonde commença à hurler pour de l’aide. Elle ne bougea pas d'un millimètre cependant, se doutant que Niva allait arriver d’une seconde à l’autre. 


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Ven 16 Aoû 2019 - 0:43



Le retour à la maison fut plus qu’apprécié. C’était une vraie libération de rentrer dans notre appartement, après notre virée aérienne et loin de ce putain de dragon qui avait tenté de nous tuer. Ha ! En espérant que la morsure le tue à petit feu. Bien sûr, je devais quelques explications à Rosa. Mais la haine que ressentait les dragons envers les wyvernes me restait inconnue, peut-être était-ce une forme de racisme… ou alors ils se sentaient inférieurs, ces connards. Les attaques envers ma race étaient une chose connue de tous, je m’étais déjà fait courser par une de ces bestioles étant plus jeune. Putains de dragons. Ce que je pouvais les haïr.

C’est sur cette pensée que j’entrais dans le magasin pas très loin de l’appartement. D’ailleurs, en parlant de ce trou à rats, je m’étais mis à chercher un endroit plus luxueux. Quelque chose où on pouvait vivre sereinement et fermer ces maudites fenêtres, en fait. Au départ, j’avais cherché de grands appartements. Puis, étant un peu parano ces derniers temps, j’avais finalement changé d’avis. Louer un manoir me semblait plus correct, c’était immense et peut-être que ça allait donner l’impression à Rosa d’être moins isolée. Tandis que je songeais encore à quel domicile prendre, mes doigts s’arrêtèrent sur un article qui devait intéresser mon italienne préférée. Des pinceaux de peinture. Un hobby qu’elle avait, mais la pratique s’était faite plus rare à force d’étudier.

Après maintes réflexions, j’attrapais le pinceau et vint le mettre dans le petit sac. Je payais le tout et au moment où les mots « au revoir » allaient être prononcés, je fronçais les sourcils, m’arrêtant dans mon geste. Qu’est-ce que je ressentais ? C’était étrange. C’était comme la fois où j’avais senti Rosa en danger. Le lien me suppliait d’accourir vers l’appartement, ma respiration, sans le vouloir, s’était accélérée.

Rosa était en danger.

Merde.

Cette fois-ci, je ne fis pas tomber les courses. Je courais aussi vite que possible, la panique me stressant. La montre sur mon poignet bipait de plus en plus fort. Allez, il restait que deux petites minutes ! Mes pas m’amenèrent vers l’appartement. Essoufflé, je m’y dirigeais rapidement et tout mon corps se figea au moment d’entrer. Des cris. Des cris effroyables. Qu’est-ce qui se passait, bon sang ? Mon cœur ne parvenait pas à se calmer.

Le sac glissa doucement de mes doigts, jusqu’à tomber sur le sol. Devant moi, il y avait une scène des plus… étonnantes. Je mis du temps à réagir, essayant de comprendre la scène qui se déroulait devant moi. Par terre, il y avait Rosa, en califourchon sur le dos de la… propriétaire ?! Celle-ci hurlait comme un démon, se débattant comme elle le pouvait. Je clignais plusieurs fois des yeux avant d’enfin agir. Si Rosa était en danger, c’est que cette folle l’avait cherché. J’étais perdu. Depuis quand Rosa savait se battre ? Elle tenait Mortensen sous son poids comme si c’était qu’un insecte, comme si elle avait fait ça toute sa vie. Je revins d’entre les morts en voyant des gouttes de sang perler sur la peau de Rosa.

– Qu’est-ce qui- oh putain, tu saignes !

Je m’étais approché de Rosa pour voir son poignet ensanglanté. La panique en moi ne cessait d’escalader, de me faire peur. C’était du sang. Rosa saignait, merde. Le couteau était plus loin et alors, je compris. Cette connasse avait attaqué MA protégée. Elle allait le payer. Je fermais la porte, attrapais mon pistolet de mon holster et vint le pointer sur la blonde qui tentait de se retourner vers moi en criant mon faux nom. Pétasse.

– Les bandages sont dans le petit sac, dis-je à Rosa. Je m’occupe de cette conne.
– Conne, mais… on s’aime, Josh ! Hein, qu’on s’aime ?! Hier soir tu me l’as dit ! Tu me trompes avec… avec elle !

Hier soir, j’étais avec Rosa dans les airs. Au moins, on savait tous que c’était une folle à lier.

– Ta gueule, vociférais-je en donnant un coup de pied dans les cotes de la proprio, qui émettait un cri de douleur.

Mon côté chien de garde prenait le dessus et je m’en foutais un peu de faire mal à cette connasse. Elle s’en était prise à la personne que je chérissais le plus et je ne voulais pas la perdre. La voir ensanglantée me mortifiait, j’agissais sans réfléchir. Je voulais aller à ses côtés pour l’aider, mais en même temps je voulais me venger.

Agresser une femme timbrée ou aider celle que… j’aimais.

Dur choix. Mais je préférais casser la gueule de la connasse, d’abord.


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Ven 16 Aoû 2019 - 13:51
Crazy womanAda se débattait comme un beau diable, heureusement que son professeur de combat avait été un vampire, Rosaria n’avait aucun problème à la garder immobilisée, si ce n’est la légère douleur sur sa main, que le couteau avait effleuré. Assez pour la faire saigner.

Les hurlements de la propriétaire commençaient à lui casser les oreilles, elle allait finir par alerter les voisins, et à fortiori les flics. Au moment où Rosaria s’apprêtait à contacter Niva par télépathie, ce dernier arriva dans la cuisine. La propriétaire le remarqua aussi, et semblait soulagée, lui demandant immédiatement de l’aide. La brune jeta un regard curieux à Niva. Pourquoi restait-il planté là ?

« Niva ? »

Ce dernier sortit finalement de sa transe, le regard planté sur sa main ensanglantée. Elle ignorait si c’était sa voix ou ce détail qui l’avait poussé à réagir, mais il avait l’air paniqué. Il s’était vite approché d’elle pour constater les dégâts.

« Ça va, c’est juste une égratignure, je suis sûre que je peux encore faire un don de sang à l’hôpital. »

La cicatrice sur son bras témoignait qu’elle avait vécu pire. Niva partit fermer la porte d’entrée, ce qui n’était pas une mauvaise idée, et quand il revint dans la cuisine, il avait son pistolet à la main et le pointa sur Ada. Cette dernière recommençait à paniquer en le constatant, mais continuait de s’accrocher à son délire malgré tout.

Rosaria se redressa en lâchant la blonde avec précaution, elle avait au moins l’intelligence de rester au sol. La brune se dirigea vers le sac que Niva avait ramené et s’agenouilla devant pour le fouiller, jusqu’à mettre la main sur les bandages. Pas de désinfectant en revanche mais elle devrait pouvoir en trouver dans leur salle de bain. Elle jeta un coup d’œil à ce qu’il se passait de l’autre côté de la cuisine, après avoir entendu Ada crier. Apparemment Niva l’avait frappé.

« Évites de trop l’amocher, les voisins ont sûrement appelé la police. »

Et elle n’avait pas vraiment envie qu’il passe plus de temps qu’il ne le faut au poste de police, même si son Agence ne le laisserait probablement pas être inculpé pour coups et blessures. Rosaria se rendit dans la salle de bain et entreprit de désinfecter sa blessure puis de la bander comme il faut. Elle enchaînait les cicatrices en ce moment.
La sorcière revint dans la cuisine, où Ada continuait de tenir un discours invraisemblable. Rosaria s’approcha de Niva, passant un bras autour du sien.

« Je crois qu’on fait bien de déménager, elle a besoin d’être internée en psychiatrie pas d’être la propriétaire d’un immeuble. »


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Ven 16 Aoû 2019 - 17:00



Ce fut la voix de Rosa qui me sortit de mes pensées incompréhensibles. Je n’arrêtais pas de fixer la main ensanglantée de ma protégée et le lien ne se calmait pas. Celle qui était en danger était Ada, pourtant. Pourquoi j’étais toujours aussi paniqué ? Peut-être parce que voir du sang s’écouler de sa peau me fait rappeler le jour où elle a disparu, avant de revenir toute étrange.

Rosa tenta de me rassurer.

– C’est à cause d’elle, maugréais-je en regardant la blonde se débattre et crier.

La porte fermée, il était temps de s’occuper de cette connasse. Déjà la faire taire, même si la police devait être en chemin. J’indiquais les bandages et demanda à ma protégée de se soigner, soit je l’aidais à le faire, soit je tenais cette idiote en joue – même si Rosa pouvait très certainement faire les deux sans trop de problèmes. Bien trop occupé à me venger de la blonde, je n’avais pas vu l’italienne partir dans la salle de bain. Une fois la main bandée, j’avais déjà donné un coup de pied dans les cotes de la proprio dans la foulée, trop enragé pour réfléchir correctement.

Rosa me demanda de pas trop l’amocher. Effectivement, les flics allaient nous poser problèmes s’ils voyaient qu’on l’agressait. De toute manière, s’ils comptaient nous arrêter, ils allaient devoir nous passer sur le corps – même si j’en revenais toujours pas que Rosa ait pu la maîtriser si facilement.

– Ouais. On va les attendre sagement.

Je rangeais mon flingue, relevais brusquement la blonde avant de la pousser dans le canapé. Elle tentait de se relever, mais je lui montrais mon arme. C’était une folle, mais pas au point de se tuer. Elle continuait son discours, sans que j’écoute vraiment, avant de sentir le bras de Rosa passer autour du mien. Maintenant, j’étais réellement rassuré. Voir Rosa près de moi et sauve me permettait de souffler un peu. Bien sûr, Mortensen insulta Rosa. Je lui lançais un regard noir avant d’écouter ma protégée.

– Déménager ? Josh, pourquoi tu ne veux pas rester près de moi, tu avais dit qu’on allait se marier et-
– Tu as raison, dis-je à l’encontre de Rosa, en ignorant Ada. La police verra qu’elle t’a agressé et les voisins penseront probablement que c’est toi qui as crié.

Ah, en parlant des flics, on entendait les sirènes au loin. La proprio, dans son monde, ne semblait pas comprendre qu’ils venaient pour elle et avait un sourire aux lèvres, comme si elle tentait de provoquer Rosa. Quelques minutes plus tard, on toqua à la porte. L’un des policiers demanda si tout allait bien, en norvégien. Mes petites bases en la langue me permirent de comprendre, mais pas de répondre. Alors je répondais en anglais :

– Pas vraiment, répondis-je en prenant un air faussement paniqué. Cette femme a agressé ma petite-amie, je crois qu’elle a un problème mental.

Ada haussa la tête, croyant probablement qu’on parlait de Rosa. Après quelques explications de ma part, les policiers se dirigèrent vers la proprio qui s’alarmait, criant de nouveau. Bon, au moins ils allaient comprendre que c’était vraiment une folle. L’un d’eux demanda si Rosa avait besoin d’aller à l’hôpital ou d’un suivi psychologique. Je me tournais vers elle, si je répondais à sa place, ça allait être bizarre.


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Sam 17 Aoû 2019 - 11:02
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Dans l'indifférence, je suis ce que la vie a fait de moi
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