Comme on se retrouve (Lilith N. Syclista)

Bon, je vous résume la situation, aujourd'hui avec Himari, nous sommes allés rendre visite à Liorah, la fille de Céleste atteinte d'une mystérieuse maladie, grâce à un sortilège qui permet de voir le mana d'une personne, j'ai découvert que la quantité qu'elle a en elle, est supérieure à la mienne même plus, mais j'y ai découvert autre chose, elle était lié à une personne qui aspirer son mana, mais malheureusement au moment où j'ai voulu voir cette personne je fus expulsé et me suis retrouvé dans le couloir. J'ai su que c'était une forme de magie très noir mais le seul problème, c'est qu'il y a pas de contre-sort.

Après avoir fourni à Liorah que je trouverai un moyen de rompre sa malédiction, un médecins m'a amener dans une salle d'examen pour retirer les éclats de verre dans mon bras gauche.

- Tu ferais mieux de rentrer Himari, je vais bien.

- Tu es sûr ? Et pour l'Etna ?

- Je m'en occupe, rentre à la maison ou va voir Sophie, mais tout va bien. J'ai connu pire.

- Je peux aller voir Liorah ?

- Tu sais qu'elle a une trentaine d'années ?

- Bah quoi... je vis bien un homme qui a plus de 900 ans.

Elle quitte la salle d'examen toute contente et me laisse seul.
Cette nymphe à beau avoir 18 ans, elle ne peux pas aller à l'encontre de sa nature.

Par contre là, où le médecin ? Il devrait être là.

J'ai attendu pendant une demi-heure, mais envoyant que personne n'arrivait, je quitte la salle d'examen, je retirai moi-même les éclats de verres.

Mais tout à coup.

En ouvrant une porte, j'ai failli faire tomber une femme avec une pile de dossier, mais heureusement tu vas bien elle ne fait tomber qu'une seule feuille. 


- Pardon je ne vous avais pas vu, laissez-moi vous aidez. 


J'ai attrapé la feuille par terre, et pris la moitié de la pile de dossiers et je me rends compte que c'est Mademoiselle Syclista. 


- Mademoiselle Syclista ? Je ne savais que c'était vous. 


Mince alors, quel était le pourcentage de chance pour que je tombe sur elle.

La personne qui vient de pousser cette porte a réellement de la chance que je n'ai pas fais tombé plus de feuilles qu'une seule, car je lui aurais envoyé toutes les autres dans la tête sans aucune retenue. Je fronce les sourcils en râlant à voix haute. Je roule légèrement les yeux en entendant l'excuse à deux balles, jusqu'à reconnaître monsieur MacCrow.

- Je ne vous avais pas reconnu non plus, je ne vous en tiens pas rigueur..

Je reprends rapidement ma feuille pour la remettre dans mon dossier. Je regarde ensuite la salle d'où il vient de sortir.

- Vous avez des soucis de santé monsieur MacCrow ?

- Vous avez vu mes souvenirs (premier RP), vous devez savoir que je n'ai jamais eu de soucis de santé.
À cause de ma malédiction.

Je lui montre mon bras gauche, incrusté de verre cassé, ça fait mal.

- J'ai été projeté à travers une fenêtre d'une chambre et je me suis retrouvé dans le couloir avec ces trucs dans le bras.
Une infirmière devait venir pour les retirer et me mettre un bandage, mais il me semble que il y ait une urgence.

Dès que la Lune sera dans le ciel, les blessures de mon bras gauche disparaîtront comme-ci je n'avais aucun accident.

- Que faites-vous ici ? Vous avez des soucis de santé ? Ou c'est administratif ?

Elle m'a posé la question, donc je me pose la même question.

S'il pense que je n'ai que ça à faire que de me souvenir de ses souvenirs à lui, il se met le doigt dans l'oeil. Surtout qu'à ce moment-là, je n'avais pas tout compris de ce que j'avais pu voir. J'avais surtout retenu le visage d'Aedan et beaucoup de sang.

- Vous n'êtes pas l'élément central de ma vie monsieur MacCrow et qui sait, une situation de vie peut rapidement changer..

J'étais bien placée pour le savoir ça au fond. Je fronce légèrement les sourcils lorsqu'il me montre son bras et qu'il explique comment il a fait pour arriver dans cette situation.

- Je comprends mieux de qui Himari tient son côté imprévisible et à toujours se mettre dans des situations dangereuses.. On vous a donné un délai ou ils vont vous envoyer quelqu'un d'autre directement ?

Je remets bien le dossier sous mon bras à sa question.

- Administratif est le bon mot. Je ne vais pas pouvoir rester longtemps d'ailleurs, votre présence ici m'a simplement surprise.. Je vous pensais invincible.

J'esquisse alors un petit sourire en coin.



Modification pour la mise à jour 30/06 :

Finalement, un collègue m'interpelle et je dois retourner à mon travail. Je salue alors le sorcier pour retourner à mes occupations, même si j'aurais aimé savoir de quoi il en retourne. Tant pis, ça sera pour une prochaine fois.