• Prénom(s) : Krishnakali • Nom : Busaya • Pseudo pour le club (PNC) : écrire ici (pour les Calls, prostitués et strips) • Date de naissance : 21 mars 1989 • Âge : 28 ans • Espèce : Nymphe • Nationalité : Thaïlandaise • Orientation sexuelle : N'a connu que des hommes • Etat Civil : Mariée, du moins sur le papier. • Métier / Études : Herboriste • Maladie (Si patient) : écrire ici • Lieu de travail : Ville • Groupe : Civil surnaturel • Avatar : Devon Aoki • Code règlement : Validé par Artemis
✧Caractère/Physique
Ses mains ne sont pas soignées, ses ongles ne sont pas manucurés. Ils sont cassés, et ses doigts ont souvent cette teinte brune à cause d'une terre espiègle qui aime s'incruster dans les sillons naturels de sa peau. Ses longs cheveux sont le plus souvent en bataille, domptés par un vent insolent auquel elle aime se soumettre. Car si elle se plaît à se laisser dominer par cette nature impétueuse, ô grand jamais elle n'acceptera qu'un Homme puisse avoir l'ascendant sur elle. Lorsque Krishnakali entre communion avec la nature, de petites fleurs éclosent à même sa peau, petits bourgeons au départ, plus elle prend en âge et plus les fleurs prennent en grandeur et en beauté …
Belle fleur qui se laisse porter au gré du vent, Krishna s'abandonne sans pudeur à la douceur d'une brise, à la beauté de ces fleurs qui s'ouvrent et se fanent, à l'arôme délicat qui naît avec la rosée … Elle vit pour ces moments où la nature est reine et transpire pour cette communion exceptionnelle. Mais face à l'Homme elle se barricade, se mure derrière un faciès froid et hostile. Ombre d'une moue boudeuse gonflant son visage rond et enfantin, Krishna fuira inconditionnellement les amas de population pour retrouver son Jardin. C'est d'un charme enfantin dont elle est dotée, un charme boudeur ... comme une brise glacée qui viendrait vous faire frisonner lorsque vous ne l'attendez pas forcément.
✧Histoire
Krishnakali. Son regard s'est ouvert au printemps, dans une contrée méconnue de Thaïlande et sur laquelle on se retourne pas. Les gens y passent, mais à part ceux qui y sont nés, personne n'y reste. Là bas, on y mène une vie pauvre, une vie pas toujours facile. Les plus chanceux ont un toit sur la tête, les plus démunis arrêtent les gens de passage pour une bouchée de pain. Lorsqu'elle est née, Krishnakali avait bien un toit au dessus de la tête, mais un toit de tôles ajourées. Les rayons de soleil se mêlaient alors à ses jeux d'enfant et les gouttes de pluie laissaient, au fond des casseroles, une mélodie qui berçait son sommeil innocent. Krishna fut la première du couple qui, malgré une situation plus que précaire, eu d'autres enfants … Les éclats de ces rires enfantins, récitant ces comptines apprises sur les bancs d'une demi-école, par des professeurs pas très pédagogues, ponctuaient les journées de la vieille cabane et apportaient un peu de gaieté à cette vie de misère. La mère de Krishnakali est une nymphe et son père était humain. Par amour, elle resta toute sa vie avec le même homme, malgré leur situation plus que précaire.
Aux yeux d'un enfant, la pauvreté n'existe pas, mais au creux d'un regard d'adulte, elle devient défi quotidien et angoisse. Aînée de la famille, en grandissant, la jolie fleur dut faire face à cette dure réalité et aider ses parents à élever ses frères et sœurs. Jour après jour, se battre pour manger, pour se réchauffer … pour survivre. Son père était faible et malade depuis toujours, et plus Krishna grandissait et plus elle le voyait se faner, impuissante, jusqu'à ce qu'il finisse par s'éteindre, un soir d'hiver, emporté par un dernier souffle glacé qui fit même frémir les murs de la vieille cabane … La mort de son père brisa quelque chose en Krishna … quelque chose qu'on pourrait nommer innocence. Ou pire, Enfance. Elle avait quatorze ans.
Si Krishna n'était pas dotée d'une richesse matérielle qui lui aurait permis de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, elle avait une autre richesse. Celle du corps. Magnifique, dôtée du charme ensorcelant des nymphes. Une beauté insolente en laquelle sa famille vit une solution à leurs problèmes. Si on pensait que son innocence était perdue depuis la mort de son père, une petite voix en elle continuait de se questionner quant à la manière d'obtenir de l'argent rien qu'en étant belle. Et devant les yeux larmoyants de sa mère, les ventres affamés de sa fratrie … elle se sentit encore une fois impuissante. Pourtant ils avaient tous posé sur ses épaules un espoir dont le poids commençait à faire fléchir ses genoux fragiles.
Épuisée de ne pas parvenir à trouver la solution que tous semblaient pourtant pointer du doigt, un après midi d'été, Krisha tomba de fatigue contre un vieux chêne qui bordait la forêt voisine à son taudis. Ca ne fut pas la brise du vent qui la réveilla quelques heures plus tard, ni la douce chute des températures du soir, mais le souffle inquiet d'un homme. C'est alors sous des paupières papillonnant encore de fatigue qu'elle découvrit la Richesse Occidentale. Il était beau, doté de ce regard qui pouvait tant en dire sans même qu'il n'ait ouvert la bouche, deux billes dans lequel on rêve de se plonger et dans lequel, si on a jamais appris à nager, on se noie. Krisha, elle n'a jamais appris à nager. Et s'est noyé dans cette beauté. Richard agissait avec brillo. Fin funambule des mots, il lui apporta la Solution dans un écrin de satin. Elle venait d’avoir seize ans. Ainsi, sa famille fut sauvée, assurée d'une bonne fortune. Krisha suivit Richard dans sa grande demeure, devant quitter sa famille et sa terre natale pour la Norvège. Elle découvrit beaucoup de choses avec lui. L'amour, mais pas l'Amour. L'amour de deux corps qui s'attirent et se complètent, qui s'enflamment et qui s'épousent. Et si son corps frémissait, son cœur lui, resta silencieux, insensible. Mais le corps parfois s’essouffle et les rêves s'éloignent. Si elle ne manquait plus de rien, dans son esprit, le gouffre continuait de se creuser. Cette grande maison était beaucoup trop silencieuse. Bien au chaud sous d'épaisses couvertures, le sommeil semblait la fuir la nuit et un froid étrange saisissait ses entrailles. Aucune brise ne venait s'engouffrer dans ses draps et plus aucune casserole ne chantait. Et elle avait beau tirer les rideaux, le soleil restait bloqué, s'écrasant piteusement contre l'épais vitrage de la bâtisse, laissant la jeune femme danser seule.
Dans cette grande maison froide, aux pièces vastes et aux couloirs sans fins, Krishna se sentait beaucoup plus enfermée, beaucoup plus oppressée qu'entre les quatre murs fragiles de la vieille cabane. Et plus le temps passait, et moins elle trouvait l'étreinte de son mari réconfortante. Au creux de ses bras, elle pouvait sentir une multitude de parfums qui n'étaient pas le sien, des marques qui n'étaient pas les siennes … Elle a beau ne pas être la plus maline, elle savait parfaitement que, lorsque Richard sortait pour ses affaires, celles-ci n'étaient pas face à des hommes en costume, enseveli sous des tas de contrats. Il allait se perdre dans d'autres jupons et revenait quelques heures plus tard, un air béat sur le visage, soit disant à cause d'une bouteille de Bourbon qui accompagnait ses longues négociations. Mais sur ses lèvres, il n'y avait pas que le goût de l'alcool … Krishna se prêta ainsi de longues années au rôle de la belle plante qu'on expose aux yeux de tous mais à qui on cache aussi beaucoup de choses. Mais une fleur a besoin de soleil, d'entretien … Sinon elle se fane. Et la demoiselle commença à se faner.
Oh, elle restait cette femme belle et ô combien désirable qui ravissait les yeux de tous. Mais pour les regards les plus attentifs, elle avait perdu quelque chose, pas grand chose aux yeux du monde … Une lueur dans son regard, un soupçon au coin de ses lèvres, un éclat dans son cœur. Sur sa route, elle semait autant de lassitude, espérant inconsciemment qu'un jour quelqu'un puisse être suffisamment attentif pour suivre la trace de sa solitude. Et qui de plus adroit qu'un jardinier pour redonner son éclat à une fleur ?
Richard l'avait engagé sur sa vaste propriété pour reprendre un jardin trop longtemps laissé à l'abandon. Et le jeune jardinier ne mit pas beaucoup de temps avant d'attirer l'attention de Krishna. D'abord discrètement, elle observait ce soigneur de plante, cachée par les épais rideaux pourpres de la demeure. Il avait deux yeux magnifiques, c'est ce qui retint d'abord l'attention de la jolie fleur. Si ils étaient d'un beau vert bouteille, ça ne s'arrêtait pas juste à une couleur. Car même à distance, elle pouvait voir cette lueur particulière briller dans le regard qu'il posait sur les fleurs dont il s'occupait. Et plus les jours passaient et plus Krishna rêvait d'être à la place d'une de ces plantes. Elle ne pensait plus qu'à lui, nuit et jour. Le jour, il encombrait ses pensées, éveillait ses sourires. Et la nuit, il peuplait ses rêves, l'atteignant comme aucun autre homme. Et elle ne lui avait encore jamais parlé.
Un jour de printemps, elle prit son courage à deux mains. Il faisait chaud … le soleil régnant en seul maître dans le ciel bleu. Muni de deux citronnades glacées, Krishna traversa le jardin. Son cœur battait si fort qu'elle craignait qu'il ne la trahisse et une main invisible semblait serrer sa gorge. Mais là, maintenant, personne n'aurait su l'empêcher de rejoindre le beau jardinier. Trop occupé à soigner ses fleurs, il ne la remarqua pas tout de suite. Si nombreuses femmes auraient pu s'en trouver vexé, il en était tout autre pour Krishna qui était toujours plus sous le charme qui se préoccupait plus des fleurs que des femmes. Lorsqu'il remarqua enfin sa présence, il leva ses yeux clairs sur elle. Un coup de vent insolent troubla son regard un instant, le couvrant de ses boucles brunes. Le jardinier eut un petit sourire qui dévoila ses dents blanches. On aurait cru qu'il s'amusait que le souffle du vent ait voulu l'empêcher de regarder la jolie créature qui se présentait à lui, deux citronnades dans les mains. En dégageant les mèches de son visage, il se mit un peu de terre sur les joues et les tempes. Mais il ne sembla pas s'en accommoder. Krishna pensa alors automatiquement à Richard qui lui, s'empresse de changer toute sa tenue à la moindre tâche. Ainsi, Krishna passa une bonne partie de la journée avec le jardinier, Harry, puis le lendemain, et les jours suivants … de plus en plus longtemps … Elle aimait qu'il lui transmette son Amour pour les plantes, pour la nature, elle aimait partager avec lui cette passion et ce lieu où finalement elle se sentait beaucoup mieux qu'entre tous les murs froids de sa grande maison, qu'entre les bras de celui qui lui a donné son nom. Bien sûr, Harry la trouvait très belle, et attirante de surcroît. Mais rien n'était comparable avec ces regards lubriques auquel elle avait régulièrement droit. Parce qu'il posait sur elle ce regard qu'elle avait tant espéré depuis tout ce temps …
Après une énième nuit d'Amour passée au creux de ses bras, bercée par une nuit d'Eté, elle sut que c'était lui, le petit poucet qui venait récupérer ses miettes de désespoir pour construire avec un Bonheur fleuri.
Mais le bonheur n'est pas éternel, surtout lorsqu'il est synonyme d'adultère. Parce que Richard avait droit de fréquenter autant de femmes qu'il le désirait, mais il s'attendait à ce que sa femme reste sage, à la maison. Douce lubie de croire qu'une rose ne pique pas. Ce sont les roses artificielles, ça. Et si il y a bien une qualité qu'on ne lui enlèvera jamais, c'est d'être tout ce qu'il y a de plus naturel. L'orage se leva le soir où, Richard rentrant plus tard après s'être fait lâcher par une de ses joyeuses compagnes, rentra plus tôt que prévu. Il découvrit alors les deux amants enlacés au fond du jardin. Trop emportés par leur Amour, ils ne le virent pas directement. Ce qui mit le plus Richard en colère, ce qui blessa sa fierté d'homme au plus profondément, ça n'est pas de voir le corps nu de sa femme entre les mains d'un autre homme … Ca n'est pas non plus de voir ses lèvres en toucher un autre … C'est de la voir vivre, de voir son regard pétiller comme jamais il n'avait étincelé, de voir ce sourire sincère, presque enfantin qui ne quittait pas ses lèvres. Il détestait cet homme pour avoir réussi à faire ce que lui avait abandonné depuis longtemps. Mais ça n'est pas sur lui que sa rage se déversa … Rageusement, il agrippa la longue chevelure de sa femme pour l'éloigner le plus possible de son amant. Krishna reçu la foudre en pleine face … violemment, sous le regard impuissant d'Harry, qui fut congédié sans ménagement. Et celui qui dit que la foudre ne tombe jamais deux fois au même endroit est un menteur. Et si Richard n'a jamais été capable de lui offrir l'Amour contrairement à Harry, il n'avait pas non plus été capable de lui offrir un enfant … contrairement à Harry. Le texte perdrait peut être en subtilité si je disais que le Jardinier a déposé sa graine ? Mais la métaphore est beaucoup trop tentante pour l'omettre.
La jolie fleur ne put garder son enfant. Une fois né, celui-ci lui fut arraché et remis à la famille du père, père qu'elle n'avait pas revu depuis cette fameuse et dernière nuit. Alors son cœur acheva à se briser. Elle ne chercha même plus à semer les morceaux derrière elle, elle balança le tout aux oubliettes. Visiblement, ça n'avait pas de sens. Elle se referma sur elle-même, perdant toute sa lumière. Plus que jamais, sa maison ressembla à une sinistre prison.
Son cœur en morceau reposant au creux de sa poitrine, Krishna se traîna jusqu'à une des nombreuses fenêtres. Offrant son visage au vent, elle le laissa lui parler, venir caresser ses oreilles pour y déposer quelques soupires. Envole toi Krish … laisse toi porter. On te guidera. Rouvrant les yeux, la jeune femme regarda le vide et eut un sourire plein d'ironie. L'avantage quand on grandit dans la misère est qu'on mesure le prix d'une vie. Alors on ne la gâche pas comme ça. Le vent souffle plus fort … mais pas ce souffle violent qui annonce la tempête, mais d'un souffle promettant de chasser les nuages plus loin. Elle entend la porte d'entrée claquer et la voix de Richard qui l'appelle. Sa décision est prise. Sans attendre plus longtemps, elle enjambe la rambarde de la fenêtre. Puis s'accrochant aux lierres de la maison, gagne le sol. Elle entend toujours la voix de Richard qui l'appelle. Alors elle se met à courir. Elle court comme elle n'a jamais couru, fuyant cette vie qui n'est définitivement pas la sienne. Et si c'est le cas, et bien elle laisse sa place sans regret. Derrière elle ne laissa que ses larmes. Combien de temps courut-elle à travers la campagne qui entourait sa prison ? Elle ne sait plus, mais elle arriva bientôt face à une épaisse haie, noueuse et touffue, qui interrompit sa course. Essoufflée, elle ne chercha pas à longer la haie dans l'espoir de voir un accès. Les bras griffés, des feuilles dans ses cheveux mêlés, Krishna atterrit, à sa grande surprise, dans ce qui semblait être un jardin. Un jardin bordé de ruines … Et au delà des ruines, il y avait la ville, vaste étendue de building … Angoissante. Krishnakali allait faire demi-tour lorsqu’elle sentit une liane s’enrouler autour de sa cheville, puis remonter impunément tel un serpent le long de sa jambe. Alors que le commun des mortels aurait pris peur, Krishnakali sembla s’apaiser. Des petites fleurs d’un rose pâle avaient éclos sur sa peau, ne faisant qu’agrandir son sourire. La nymphe prit ça pour un message de la nature. Ici, elle était en sécurité. Elle pouvait s’arrêter de courir, et se construire une nouvelle vie.
C’est ainsi que la jolie fleur commença son installation à Oslo. Les ruines sur lesquelles elle avait atterri devaient être l’ancienne cour d’une maison abandonnée, dans un état encore suffisamment correct pour que Krishnakali puisse y emménager. Bien sûr, cela nécessita quelques travaux. Mais Krishnakali ne boudait pas l’effort. Elle parvint à en faire un nid à son image, fleuri et lumineux. La vieille cour en ruine s’était transformée en un vaste jardin, avec une serre, puis la vieille bâtisse était devenue une herboristerie, le second étage étant réservé à son logement personnel.
✧Derrière l'écran
▽Pseudo : Batfée ▽Âge : 25 ans ▽D'où viens-tu : de France ( selon la version officielle ) ▽Scénario : Nop ▽Présence : aussi souvent que possible ▽Comment as-tu connu le forum : guidée par la voix d'une jolie sirène ▽Un commentaire ? écrire ici
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Sam 17 Fév 2018 - 16:15
Bienvenue sur le forum J'espère que tu te plairas
Lilith N. Syclista
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Il n'y a pas de bien ni de mal, il n'y a que le pouvoir et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher..
Sam 17 Fév 2018 - 16:17
Bienvenue sur le forum jolie Nymphe ! Si tu as la moindre question n'hésite pas ! Hâte d'en lire plus sur ton histoire !
Aedan Cursse
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J'ai laissé au fil du temps mourir, mon innocence S'enfuir les souvenirs de mon enfance, je sais ce que la vie a fait de moi Et le temps défile sans me laisser, la moindre chance Dans l'indifférence, je suis ce que la vie a fait de moi
Sam 17 Fév 2018 - 17:32
Salut petite Fleur... :3 *se pare de paires d'ailes de libellule*
Invité
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Sam 17 Fév 2018 - 17:41
Okaeri petite nymphe, compatriote bridé japonaise.
En passant, je suis fascinée par le prénom de la nenette ! Krishna + Kali (allias Karli) sont des dieux dans la religion indienne. (je suis justement hindoue aha) La fusion est très originale, j'adore !
Invité
Invité
Sam 17 Fév 2018 - 18:17
Merci à vous tous
*Laisse un instant son regard s'attarder sur les ailes de libellule*
Hiiro : Je t'avoue que ça n'est absolument pas voulu ^^' mais du coup je l'aime encore plus.
Invité
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Sam 17 Fév 2018 - 19:22
Bienvenue sur le forum ! ravie de te compter parmis nous
Invité
Invité
Sam 17 Fév 2018 - 22:38
Bienvenue sur le forum petit Nynphette bon courage pour ta fiche ^^
Invité
Invité
Dim 18 Fév 2018 - 0:48
Bienvenue
Invité
Invité
Dim 18 Fév 2018 - 15:11
Bienvenue sur le forum Krishnakali J'ai hâte de voir ce que ton personnage nous réserve ! Et comme dit Aedan, n'hésite pas à venir nous voir en cas de souci
Artemis Esperanza
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Je doute, parce que je crois que l'avenir saura mieux...
Spoiler:
Like a flower made of iron..
Dim 18 Fév 2018 - 16:32
Citation :
Hiiro : Je t'avoue que ça n'est absolument pas voulu ^^' mais du coup je l'aime encore plus.
C'est vrai ? Olalah, maintenant, tu sais que son prénom a trop de classe. :3
Invité
Invité
Dim 18 Fév 2018 - 17:33
Merci à vous tous :* Il ne me manque plus que quelques lignes à son histoire !
Hiiro : Mais elle a déjà la classe de base
Invité
Invité
Ven 23 Fév 2018 - 16:27
Coucou ! Il ne me manque que ta date de naissance pour te validé ! (l'année ! )
Aedan Cursse
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Ven 23 Fév 2018 - 18:10
Fait
Invité
Invité
Sam 24 Fév 2018 - 17:22
Félicitations Krishnakali !
Nous te souhaitons la bienvenue sur Two-Worlds-In-Pain ! Ta fiche est parfaite, nous te validons donc ! Te voici donc prête à jouer parmi nous. Tu as été ajoutée au groupe Civile Surnaturel.
Mais avant toute chose, il va falloir que tu finisses de totalement installer ton personnage en venant ici pour avoir un logement et ici pour qu'on te rajoute au bottin des Métier ! Et si tu as besoin d'un lieu tout particulier, n'hésite pas à venir nous le demander ici. Et si tu veux rester connecter au monde, viens ici
Il faut également que tu viennes faire ta fiche de Rp ici
si tu veux que les autres joueurs viennent te demander des petits sujets ! Il faut aussi pouvoir garder une trace de tous tes liens, alors clique ici pour se faire. Et si jamais tu es patient au sein de l'hôpital Helse Magi, n'oublie pas également de venir faire ta fiche de patient ici
Et surtout il est important et obligatoire d'aller remplir ton profil et ta fiche personnage qui s'appelle "vos info rapide !" disponible également dans le profil.
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter un des administrateurs !
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Lun 30 Avr 2018 - 18:40
Bienvenue jolie nymphe
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