Anya Petersen

• Prénom(s) : Anya • Nom : Petersen • Pseudo pour le club (PNC) : Aucun • Date de naissance : 2 février 1993 • Âge : 25 ans • Espèce : Vampire mordue • Nationalité : Norvégienne • Orientation sexuelle : lesbienne • Etat Civil : célibataire • Métier / Études : Sans emploi • Maladie (Si patient) : Aucune • Lieu de travail : Je ne travaille pas, mais je passe mon temps en ville. • Groupe : civil surnaturel • Avatar : Grace Phipps • Code règlement :OK By Aedan

Je suis jolie non ? Allez, avouez, avouez ! Mes jeux bleus vous pénètrent jusqu'au fond de votre être, avoir de voir si vous voulez qu'ils soient amicaux, ou hostiles. On dit de moi que je suis une jeune fille plutôt pâle, mais au fond c'est normal pour un vampire, hm ? Je suis supposée être morte, après tout. Mes cheveux noirs se marient parfaitement avec ma couleur de peau, j'aurais pu m'appeler Blanche-Neige, mais mes parents ont choisi le nom d'Anya. Bouarf, aucune importance. Je suis relativement petite, du haut de mon mètre soixante-trois, mais je trouve tout de même facilement des vêtements à ma taille. En parlant des vêtements, je n'ai pas un style particulier, en général je sors habillée selon la saison et la météo, je vais pas sortir en mini-short s'il fait -5 degrés m'voyez ?

Mon caractère hm ? Que pourrais-je dire qui vous arrange ? Que je suis une fille sage qui a toujours obéit à ses parents ? Non, vous voulez connaître la vraie moi, je peux bien vous faire plaisir à ce niveau là. Je ne suis pas un ange, non mais vraiment, je dois tuer pour survivre, alors je tue pour survivre, certains diront que je suis barbare et sanguinaire, je n'appellerais pas ça comme ça. Disons plutôt que... Je suis créative, y compris dans mes façons de me nourrir. J'aime faire des mises en scènes avant, et après avoir bu le sang de ma ou mes victimes. Telle une tueuse en série, je laisse une sorte de message, je parviens ainsi à faire passer mes meurtres pour des rituels sataniques, et puisque je n'ai pas la gueule de l'emploi, les autorités me laissent tranquille. Relativement. Et quand ils m'auditionnent, je mens, oui je suis douée en mensonges, ils finissent toujours par me libérer. On dit que je suis joueuse également... Ca dépend quels jeux. Si c'est des jeux d'argent, oui, l'argent n'est pas un souci pour moi. Mais je peux aussi jouer avec mes proies avant de les achever, ça encore... la mise en scène.

Un hiver en Norvège, c'est froid. Et ça, c'est rien de le dire. Pourtant, la famille Petersen avait chaud au coeur ce 2 février 1993; et pour cause, la femme venait de mettre au monde une fille: moi. Leur fille unique, la prunelle de leurs yeux nommée Anya. Un bébé tout mignon que j'étais, comme me décrivaient mes parents. Je dormais beaucoup, même pour un bébé, et étonnamment, je faisais mes nuits, les laissant dormir. J'étais une enfant facile, il n'y avait pas à dire. Mais en grandissant, cela commença à changer. Il y avait les caprices, quand je voulais quelque chose, je le voulais tout de suite, et même s'il m'arrivait de changer d'avis, je continuais. Il y eut ensuite l'école. De bonnes notes, mais trop d'absences. Ma mère se laissait faire, donc tandis que papa était au travail, moi je parvenais à convaincre ma mère de me laisser rester à la maison. Ce fut d'ailleurs sujet de plus d'une dispute entre mes parents, mon père voulait me punir de façon à ce que je ne recommence plus, mais ma mère y était farouchement opposée. Je n'aimais pas l'école, et ils le savaient. Finalement, eux et moi réussirent à satisfaire tout le monde: je n'allais plus à l'école, mais j'allais suivre des cours par correspondance. Autrement dit, quelqu'un viendrait à la maison pour m'enseigner ce que je devais savoir. Ma prof particulière était cool et compréhensive, elle accepta de me laisser régulièrement faire des pauses pour regarder la télévision ou aller jouer. Mais je grandissais, et bientôt, il fallait changer de professeur particulier. En effet, celle qui m'aidait jusque là était spécialisée dans le niveau primaire, autrement dit, je devais en changer lorsque mon niveau eut atteint celui d'une collégienne. Pour protester, je fuguais parfois tard de chez moi, pour aller me balader, peut-être rencontrer des gens. Mais ce n'était pas facile, les gens me regardaient comme une étrangère. Et pour cause, je ne connaissais personne, et personne ne me connaissait. cette impression d'oppression, je l'avais. L'impression de ne pas être la bienvenue, de déranger... Peu importe où j'allais, c'était là. C'en était trop pour moi, je regrettais de ne pas avoir été à l'école, mais bien sûr il était trop tard maintenant... Je finis par plonger dans la dépression. Une dépression que nul ne voyait, mes parents pensant que je traversais juste une crise existentielle d'adolescente pourrie gâtée. Ce qui m'enfonça davantage, d'ailleurs... Une dizaine d'années passèrent sans que mes parents ne se rendent compte de mon état. J'avais pourtant multiplié les actes révélateurs: Idées noires, tentatives de suicide, automutilation... Finalement, peu avant mes 25 ans, je fus prête à passer à l'action. Je m'assis sur une voie ferrée, dans l'attente qu'un train me fauche. Seulement, ce fut encore une fois raté: une personne me "sauva". Elle me demanda alors ce me poussait à faire ça, je lui expliquais donc dans les grandes lignes ce qui m'avait amenée à ce jour fatidique. La femme en face de moi me fit une autre proposition... Elle me proposa de me... mordre ? C'était particulier comme proposition, et dans un premier temps, je la pris pour une folle, et lui intimais de s'éloigner de moi. Finalement, elle ne prit pas le temps de me demander à nouveau mon avis. Elle m'agrippa par le col et me mordit dans le coup, ce qui me fit assez mal pour m'arracher un cri, puis elle se recula. Elle se fendit d'un "Plus tard, tu me remercieras" puis partit aussi vite qu'elle était arrivée, regagnant sa voiture garée non loin de là, puis démarrant en trombe. Ma main posée sur mon cou, ensanglanté et douloureux. Pour le coup, je décidais qu'il n'était pas temps pour moi de changer le fusil d'épaule, et rentrais chez moi. Mes parents, me voyant rentrer dans un sale état, semblaient me demander ce qu'il s'était passé. "semblaient" car je ne les écoutais pas... J'étais trop concentrée à regarder leur cou. Qu'est-ce qui me prenait d'un coup ? Qu'est-ce que... cette femme m'avait fait ? Je serrais les poings, j'avais comme qui dirait envie de bouffer mes parents. Littéralement. J'essayais de me retenir mais finalement... Je me jetais sur mon père et le mordis dans le cou. Comme cette femme m'avait fait, sauf que moi, je ne le lâchais pas. Je le mordis jusqu'au sang, alors que ma mère essayait de me forcer à lâcher ma prise. Un liquide coula dans ma gorge, et il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que j'étais en train de boire le sang de mon propre père. Ma mère finit par me tirer de là, mais trop tard: mon père était mort. et je n'en avais pas fini, à croire que je m'étais transformée en monstre sans conscience, ma mère y passa à son tour. Ce ne fut qu'après, que je réalisai ce que j'avais fait, et que je fondis en larmes. Des larmes... De sang. Paniquée je partis prendre une douche, pour enlever le sang sur moi, avant de prendre un sac et des affaires, et je pris la poudre d'escampette. Après quelques jours, je commençais à me faire à ma nouvelle condition. J'avais compris que je ne pourrais plus sortir le jour, et mon 25ème anniversaire marqua mon premier changement d'âge uniquement numérique, car il était certain que je ne vieillirais plus. Au début, ce fut dur, j'essayais diverses façons de me suicider, sans succès. Et puis, le sang avait visiblement redoré mon image de moi-même, comme si je considérais désormais les humains comme inférieurs, ainsi donc leurs avis sur ma personne m'importait peu. Evidemment, je ne crierais pas partout "je suis supérieure aux humains", mais c'était l'impression que j'avais. Aujourd'hui, j'ai un but: retrouver la personne qui m'a transformée, et soit la remercier, soit la faire payer. En fait, ces possibilités se bousculaient. J'avais pris goût au sang, j'en voulais toujours plus... Je devais savoir si c'était normal.

▽Pseudo : Aucun ▽Âge : 20 ans ▽D'où viens-tu :de France ▽Scénario : Non ▽Présence : souvent ▽Comment as-tu connu le forum : via facebook je crois ▽Un commentaire ? innovant comme contexte !