Nivahriin, pas à votre service

• Prénom(s) : Aiden. Mais vous me connaissez sûrement sous le prénom de Joshua, ma nouvelle identité. • Nom : Nivahriin, Rosa m'appelle Niva. Cependant, je pris le nom Mirano pour notre nouvelle vie. • Pseudo pour le club (PNC) : / • Date de naissance : 9 septembre 1503 • Âge : 516 ans, 28 en apparence • Espèce : Wyverne/vouivre • Nationalité : Île de Svaak - Italien sur la carte d'identité • Orientation sexuelle : Hétéro • Etat Civil : Normalement, célibataire. Mais Rosa et moi nous nous faisons passer pour un couple pour éviter tout... désagréments • Métier / Études : Ancien sniper et assassin à l'Agence, maintenant garde du corps de Rosa • Maladie : Malédiction • Lieu de travail : Auprès de Rosaria • Groupe : Civil surnaturel • Avatar : Ben Barnes • Code règlement : Ok By Aedan

J’ai fait partie des forces spéciales italiennes et une portion de mon passé a appartenu à l’Agence. Il est donc obligatoire pour moi d’avoir un corps bien bâti. Je mesure un mètre quatre-vingt-cinq et cela m’est bien utile pour dominer mes cibles. Enfin, mes anciennes cibles. Ma peau n’est pas sans défauts : je possède des cicatrices et un tatouage en forme d’aigle aux yeux rouges, ou plutôt la marque de l’Agence, repose sur mon omoplate. Mes yeux sont noirs et beaucoup disent que je leur fais peur. Je ne peux pas dénier que j’intimide, c’est dans ma nature d’être dominant. Ma garde-robe est monochrome, je n’aime pas les couleurs vives parce que je veux éviter l’attention sur moi. Une barbe de trois jours orne mon visage aux traits constamment tirés et rares sont les sourires que j’offre à autrui. Cela fait quelques temps maintenant que je sais que je peux me retransformer en wyverne. Cependant, c’est pour un temps limité, la malédiction m’empêchant de prendre ma forme indéfiniment. Je suis plus grand et rapide que mes compères et je suis d’un noir jais, comme mes cheveux.

Dans la fiche de l’Agence, on retrouve mon prénom et mon nom. Juste en-dessous, se trouve le rapport psychologique. Selon eux, je suis quelqu’un de méthodique, sérieux et un poil trop sanguinaire. Je n’ai aucun remords lorsque je tue quelqu’un et cela pourrait endommager mon état mental, selon le rapport. Cela fait des années que j’assassine des journalistes combattant contre la corruption, et pourtant je me sens tout à fait bien. Le psychologue trouve que je devrais sourire plus. Je l’emmerde, lui. Oui, j’ai le sang-chaud – et un sale caractère, de surcroît. Enfin, je me contrôle quand même lorsque je suis au sniper… je ne voudrais pas rater ma cible. Je peux me montrer sarcastique, mais encore faudrait-il qu’on arrive à me parler… je suis difficilement approchable. Narcissique, je me vois comme un être supérieur aux humains que j’appelle affectueusement les vermines. Cela fait beaucoup de défauts, n’est-ce pas ? Je garde mes qualités pour Rosaria Cavaletti. Une fille que je protège depuis… l’incident. Attentionné, je fais tout pour que personne ne la touche et il m’arrive d’être un peu trop protecteur. Et si quelqu’un lui fait du mal, j’agis comme un chien de garde enragé, encore plus lorsque l’on me provoque. Les wyvernes n’aiment pas ça…

Bestiaire : Une wyverne ou une vouivre est une créature géante qui prend la forme d’un dragon/serpent ailé. Ces dernières disposent d’ailes, mais pas de pattes antérieures – ce qui restreint quelque peu leurs mouvements. La légende dit que les wyvernes apparaissent lors d’aurores boréales. Contrairement aux dragons, le vol d’une wyverne est silencieux et à cause de ça, il est difficile d’en apercevoir. Ces créatures parlent leur propre langue et ont leur île, qui se trouve à Svaak. Leur morsure est toxique, mais pas fatale. Féroces et agressives, elles n’attaquent cependant pas à vue et aiment virevolter tranquillement dans les airs. Leur faiblesse : l’or. Ce métal, bien qu’elles en soient attirées, peut leur causer des brûlures au contact de leur peau. *** Je suis né le 9 septembre 1503 à Svaak, une île de wyvernes non loin de la Norvège. Cachée par une brume supposée être magique, j’ai toujours été quelqu’un de solitaire et violent. Mon peuple ne m’a jamais aimé. On m’évitait comme la peste et on me voyait comme tel. Ne vous méprenez pas, je m’en contrefichais s’ils pensaient de cette manière. C’était réciproque, de toute façon, je les haïssais. Cette animosité envers moi fut décuplée lorsque je me mis à tuer les humains des villages voisins. Notre chef de clan eut la brillante idée d’envoyer une sorcière et cette dernière me lança une malédiction, qui me transforma en un simple mortel. Ma hantise ! Les habitants de Svaak célébrèrent même ce jour-là. Honteux et enragé, je décidais de fuir ma contrée. J’avais alors gardé mes caractéristiques de wyverne. Mon odorat était aiguisé, mon corps résistant et ma férocité, eh bien… augmentée. Nous sommes alors en 1876. Je voyageais énormément, ne restant jamais sur place. Je fis même la deuxième guerre mondiale, j’étais du côté des Britanniques. J’étais un sniper à l’époque et c’est durant cette période que je découvris ma passion pour cette arme. Et surtout la guerre, c’était le seul moyen pour moi de me défouler. Tuer des gens me procurait de l’adrénaline et je n’avais aucun désir de m’en arrêter là. En 1990, j’entrais dans l’armée italienne et fis mon ascension jusqu’aux forces spéciales. J’étais doué… tellement que « l’Agence » m’engagea en 2005. Vous vous demandez qui ils sont ? C’est très simple. Vous voyez les journalistes qui meurent dans des circonstances étranges, après qu’ils aient percé une corruption à jour ? C’est moi qui massacre ces gens. L’Agence fait partie du gouvernement américain, mais par facilités, il était convenu que je travaille sur le sol italien. Je m’y plaisais, je devais l’avouer. Un contrat et un meurtre par semaine, un rythme parfait pour moi. Il me suffisait de prévoir un plan pour assassiner ces pauvres gens et le tour était joué. Soit au sniper, mon arme de prédilection, soit au corps à corps, un peu plus compliqué mais tout aussi jouissif. En 2013, je fis la rencontre de Rosaria Cavaletti dans un bar à Milan. En la voyant, je compris tout de suite que quelque chose n’allait pas. Qu’un lien télépathique était formé entre nous. La sorcière ne m’avait pas juste transformé en humain, elle avait aussi décidé de me lier à une quelconque personne, rien que pour m’ennuyer. Nous apprenions à nous connaître et je réussis enfin à saisir que j’étais une sorte de gardien, de protecteur… quelqu’un qui ressentait le danger autour d’elle. Je sus aussi que c’était une sorcière, mon odorat me l’indiquant. Peu enthousiaste au début, je me fis doucement à l’idée que j’étais officieusement son garde du corps. Ce fut en 2018 que le fameux incident arriva. Rosa était en péril et j’accourus aussi vite que possible là où le lien me disait d’aller. Je défonçais la porte du salon de son manoir familial pour assister à une scène que je n’oublierais jamais. Du sang. Du sang partout. Des membres humains déchiquetés, il ne restait qu’une toute petite main qui devait appartenir à la jeune sœur de Rosa et rien qu’une tête, qui était celle de son ancien garde du corps, Giovanni. Il était impossible de deviner le reste. Ma protégée était au milieu de toutes ces couleurs rouges et je mis un instant avant de me ressaisir. Sa famille avait été massacrée et Rosa était la seule survivante. Complètement dévastée, j’eus du mal à la réveiller de la transe dans laquelle la sorcière était. Il fallait fuir et immédiatement. Je l’hébergeais un moment à mon domicile et ignorais le contrat que je devais faire. Il y avait plus important. Je mis une bonne semaine à tout préparer : nouvelles identités et une destination où Rosaria serait en sécurité. Car oui, la police n’était pas la seule menace : Rosa avait de la famille en Sicile qui désirait la voir neutralisée. Et de plus, j’avais déserté l’Agence pour prendre soin d’elle. Nous étions en danger. C’est quelques jours plus tard que nous atterrissions à Oslo. Rosaria n’était plus la jeune femme vive et malicieuse que je connaissais, et je me devais de faire attention à elle. On prit donc une quelconque résidence malfamée. Le reste, seul l’avenir nous le dira…

▽Pseudo : Nath ▽Âge : 24 ans   ▽D'où viens-tu : Bruxelles ▽Scénario : inventé ▽Présence : A peu près tous les jours ▽Comment as-tu connu le forum : Via Rosaria qui a trouvé le fofo sur le site ▽Un commentaire ? J'aime déjà le fofo