Frida Northman Vampire de sang Viking

⚕︎ Prénom(s) : Frida
⚕︎ Nom : Nothman
⚕︎ Pseudo pour le club (PNC) : /
⚕︎ Date de naissance : 25 août 2000
⚕︎ Âge : 22 ans
⚕︎ Âge physique (si êtres surnaturels avec un vieillissement différent des humains) : 23 ans
⚕︎ Espèce : Vampire de naissance
⚕︎ Nationalité : Finlandaise
⚕︎À Oslo depuis : ma petite enfance
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
⚕︎ Etat Civil : Célibataire
⚕︎ Métier : Serveuse dans un petit bar/restaurant
⚕︎ Maladie (Si patient) : /
⚕︎ Lieu de travail : Ville
⚕︎ Groupe : Civile Surnaturelle
⚕︎ Avatar : Deborah Ann Woll
⚕︎ Code règlement : Ok by Aedan C.

§Je suis assez grande, mais pas trop 1m78 pour 66kg. Je suis rousse comme ma mère, contrairement à mon père qui est blond aux yeux bleu, tel le viking qu'il est, j'ai hérité de ses yeux. De lui j'ai surement hérité mes cheveux raide, contrairement à ma mère qui les a ondulé. Malgré ma taille, j'aime porté des talon, mais j'avoue n'en porter que lorsque j'en ai envie, et non tous les jour, ou au travail. Je suis une jeune femme qui écoutes ses envies vestimentaire, passant de vêtement confort, à élégant, et n'ayant pas peur de porter des vêtement aussi sexy, qu'atypique tel que ma cape rouge, qui m'a valu le surnom de "petit chaperon rouge. Je m'habille avant tout pour moi, parce que c'est avant tout à moi que je dois plaire.

§Je suis une jeune fille douce et adorable, mais un conseille ne me cherchez pas, ne touchez pas à quelqu’un qui m’est chère, ne faites pas de mal par amusement, sinon vous déclenchez ma colère. Croyez-moi, il vaut mieux ne pas se trouver dans l’éparage lorsque quelqu’un fait naître en moi la fureur… Fort heureusement ces temps là sont rares, puisqu’il faut vraiment me pousser à bout pour voir apparaître cette facette de moi. Je suis quelqu’un de très compréhensive, d’ouverte et de tolérante. Par contre, si vous arrivez à me blesser au plus profond de mon être, si vous en arrivez à ne plus avoir confiance en moi, si vous me pensez capable de choses immondes, c'en ai fini, je vous ferme mon cœur et ma vie. Telle la rancunière que je suis. Jusqu’à présent il n’y a pas eu de retour en arrière. Je suis sensible, fragile, mais je ne suis pas faite en sucre. Je peux être tempétueuse, j’ai bien des défauts, parfois têtue, mais plus déterminée qu’autre chose. Impulsive aussi, mais je sais reconnaître mes fautes. Je ne joue pas les victimes, mais j’aime qu’on reconnaisse ses propres torts. Parfois les gens pensent nous aider, mais ils s’y prennent mal, alors on dit qu’on ne se sent pas aidé. Si certains nous aident à reformuler nos besoins, d’autres nous traitent de victime… Je n’agis pas telle une victime, il y avait simplement des fois où je n’avais pas toutes les cartes en mains, pour jouer au jeu de la vie correctement. Moi je suis plus du genre à tomber et à me relever. Mais quand on vous enfonce, ou vous tient la tête sous l’eau difficile, n’est ce pas? Je ne tourne pas facilement le dos aux personnes. Je suis une personne sur qui l'on peut compter contre vents et marrées, même quand moi-même je suis au plus bas. Je suis là pour ceux qui ont besoin, pour les écouter et les aider comme j’espère le mieux. J’abandonne très difficilement croyez moi, encore plus si la personne ne sait pas comment s’en sortir, et ce même si elle me repousse, si elle besoin je reste. Point.

Je suis une descendante de viking de Suède. Mon père est né de deux viking qui ont profité d'un des raides pour s'installer au marge de ce qui allait devenir l'Écosse. C’est un vampire de naissance, né en 900 après JC, au 9 ème siècle, devenu vampire à l'âge de 30 ans. Mon père est un méchant au grand cœur, il a sauvé bien des vies. Des vies qu'il savait utiles, mais sauvées tout de même. Ma mère, elle, est un vampire de naissance d'Écosse. Mais je dois vous avouer que je ne sais rien de plus d'elle, ou si peu. Malheureusement mon père n’est pas très bavard à son sujet. Il faut dire que leur relation a été quelque peu chaotique, au grand dam de sa protégée depuis plus de 100 ans, et actuelle compagne. Elle qui ne comprenait pas le comportement de mon père à l’égard de cette mère, et femme qui lui a fait autant de mal que de bien finalement. Mais le cœur à ses raisons, que la raison ne connaît pas, comme on dit. Cette femme est tout pour lui, et surtout son unique amour. Mon père n’a aimé réellement qu’une seule femme, même si sa protéger a longtemps espérer l’avoir pour elle.

Mon père est un homme à femme qui a toujours préféré batifoler, plutôt que de prendre femme et avoir une famille... Et puis avec le carnage qu'avait subi sa famille, il n'a jamais eu cœur à cœur de rentrer dans ce que son père appelait le droit chemin. Et puis il a posé ses yeux sur ma mère, et il a su qu’il l’aurait dans la peau pour toujours. Ils s’aiment si fort, que s’en devient violent, se retrouvant, pour de folle nuit, entremêler de violente disputes. Mon père n'était pas fait pour être mari, ni ma mère pour être épouse et encore moins mère...

Et puis il y a 23 ans elle est tombée enceinte, elle qui pendant des siècle y avait réchappé… Pour mon père c’était un signe. Alors pour lui, elle a mené sa grossesse à terme en prenant soin d’elle et de l’enfant…Mais à ma naissance elle n'est pas restée à nos côtés, préférant la fuite en avant, laissant son enfant à son père.

Sa protégée; Erika, est une femme adorable à sa manière, mais aux yeux de mon père, il me fallait une famille aimante pour mon bonheur. Il a donc choisi une famille aimante à qui il m’a confier, une famille aimante, tout en veillant sur eux et sur moi. Dans cette famille, je n’ai manqué de rien, moi qui ai grandit, et ai été choyé de ma naissance à l’âge de 6 ans, sans que je ne saches aucunement que mon père était mon père, lui qui longtemps n’a été qu’une ombre bienveillante au décore de ma vie. Moi qui vivais telle une simple humaine, bien intégrée à leur espèce, sans me douter de ma réelle nature, ne m’appliquant qu’à suivre ce traitement que cet homme me donnait à intervalle régulier, pour que je grandisse mieux, et que je devienne plus forte. Une jeune fille bien sous tout rapport, voilà qui j’étais. Et si je me demandais pourquoi je n’allais pas comme tous les autres enfants à l’école, j’étais comblé par cet endroit où ma mère adoptive m'emmenait pour que j'apprenne tout savoir qui me serait transmis, et puis quel bonheur d’étudier en compagnie de ces enfants, et surtout de Haakon, ce garçon de presque mon âge au jolie yeux bleu, adorable et attentionné avec moi. Lui et moi, on s’entendait tellement bien, que chaque fois que l’on devait se séparer c’était un crève-cœur pour moi, qui me retrouvait seule à la maison, et personne avec qui m’amuser et passer du temps.

Et puis un jour, cet homme dont je ne connaissais rien ou si peu m’a avoué être mon père, doucement, mais sûrement on a appris à se connaître et à s’apprivoiser. Il m’a raconté mon histoire, de mes origine, moi qui porte le prénom d’une de mes ancêtres viking, ayant existé il y a des centaines d'années, pour m’insuffler force et courage, pour affronter selon lui la vie avec les âmes nécessaires. Mais de ces racines, je ne sais, encore aujourd’hui, que très peu de choses. Lui, qui ne parle que rarement de sa famille qui a été décimée par des Loups… Mon père est un homme taciturne, un homme de peu de mots, qui préfère les gestes aux paroles. Alors, on parlait de tout de rien, jusqu’à ce qu’il me lâche une bombe, en me dévoilant ma nature profonde, en sommeil. Moi qui découvrait être non pas une humaine, mais un vampire. Quel choc! De ce que je suis, il ne m’en a pas trop dit, ni même assez, à dire vrai… Malheureusement. Mais ça vous comprendrez pourquoi un peu plus tard. Avec les aveux de mon père, ma vie a pris une tournure, et si je n’avais qu’une envie en parler à Haakon, mon père a tué mon engouement dans l'œuf, en me demandant de taire ma nature à quiconque. Il s’agissait de mon bien être et de notre survie, alors je l’ai écouté. Mais vous ne pouvez pas vous imaginer, ce que ça me coûtait de ne rien partager avec Haakon… Si j’avais su…  

Je me contentais du temps passer avec lui, alors que notre amitié grandissait doucement, mais sûrement, on s’amusait comme des enfants qu’on était, comme des enfants qui grandissait et qui changeaient, sans s’en rendre compte… Et puis un jour sans crier gare il a disparu, et je n’ai plus entendu parlé de lui… Sans un mot. Si vous saviez ce que j’ai été inconsolable… Je me suis retrouvée à devoir faire l’école à la maison, sans comprendre pourquoi. Quelle frustration! Que c’était triste! Que c’était différent! Si différent ! J’étais telle une âme en peine, comme l’ombre de moi-même. J’écoutais et appliquait ce qu’on m’apprenait, mais le cœur n’y était pas. Je n’avais plus cet entrain, ce plaisir d’apprendre comme avant… Alors je me suis refermée, passant mon temps, mon nez dans les livres, préférant cela à mes heures d’école… Mais quelle erreur ce fut!

Car en me refermant, je passais de moins en moins de temps avec les humains, je passais moins de temps à vivre telle une simple humaine pleine d’insouciance. Une humaine qui avait pris ses marques et qui avait appris à ne rien laisser transparaître, sans même réagir alors qu’un enfant, ou un adulte se blessaient jusqu’au sang…


Mon père a pris grand soin de moi, de cette part de moi, en me délivrant le nectar nécessaire à mon bien être physique, mais sans me préparer aux conséquences de cette nature, qui est mienne. Il ne m’a jamais expliqué tout ce que cela engendre comme précaution à suivre. Il ne m’a jamais appris comment me comporter en cas de confrontation au sang, si une personne se blesse. Je ne savais donc pas comment contrôler ma soif si quelque chose venait à la déclencher, et encore moins comment me nourrir discrètement sans mettre en péril une vie.

N’ayant pas été préparée à tout ça, je ne savais pas comment faire lorsque je fus confronté à cette situation, moi que l’odeur du sang avait envahis mes narines, et ma gorge. Ma soif de sang a été telle que…je m’en suis pris à un humain, au point de presque arriver à le tuer. Si Erika n’était pas intervenu à temps, je sais que je n’aurais pas su m'arrêter à temps. J’avais 14 ans. Mon père ne pouvait s’en prendre qu’à lui… Mes parents adoptifs n’ont pas su gérer cela, ce qui se comprend, alors il m’ont mis à la porte… Si mon père a pris les choses en main, s’il a pu leur faire oublier ma nature, je n'ai pas voulu qu'ils les fassent revenir sur leurs décisions. Je ne pouvais pas imaginer côtoyer des personnes qui ne m'acceptaient pas telle que j'étais, moi qui ne m'en était aucunement pris à eux, alors que j'en avais eu l'opportunité. Pourquoi avais-je craqué cette fois-là avec un de leur voisin, allez savoir… sûrement que notre lien familial était plus fort que le reste. Mais je suis rancunière et des mots blessants avaient été prononcés alors, aucun retour possible à mes yeux sur le moment.

Après ça, mon père m’a pris sous son aile, et Erika aussi, m’apprenant comment me comporter pour ne pas me faire prendre et ne pas mettre en péril la vie d’un humain… Mon père s’est rattrapé, en me préparant à tout ce qu’il lui passait par la tête, parfois de manière un peu trop intense, mais depuis ça au moins, je sais me contenir…

Après cette période intense d'entraînement mis en scène par mon père, se protéger et les vampires de leur entourages, qui a durée quelques mois, j’ai pu reprendre une vie d'humain. J’ai même intégré un lycée, c’est sûr que ça me changeait de l’école à la maison. J’ai été le plus humaine possible durant mes années lycée, et me nourrissait le plus possible dans les réserves de mon père, même s’il m’arrivait de me nourrir à la source, me délectant de ce nectar chaud et délicieux. Mais j’étais une vampire assez sage, qui savait se tenir.

Après le lycée, je suis même allée à la fac. La fac de l'histoire, voulant me spécialiser dans la mythologie nordique et les légendes, il faut avouer que tout cela m’amusait, de parler de sorcière et de tous ces mythes. Je n’ai pu m’empêcher de sourire sans quand sans le vouloir le professeur s’est mit à parler de ces viking dont je suis directement descendante. Entendre parler de la famille de mon père m’a surpris, et je dois vous avouer que je n’en ai jamais parlé à mon père. Mais j’étais ravie d’en apprendre un peu plus sur ma famille et son histoire.

Je profitais de la vie telle une vraie humaine, allant de fête en fête, jouissant des bon plaisir de la vie purement et simplement, sans penser au lendemain, sans m’attacher à personne. La perte de mon ami à 12 ans m’avait marqué au fer rouge, j’avais été bien trop triste et inconsolable pour désirer m’attacher à une autre personne….  
Puis un jour, alors que je m’y attendais le moins du monde je suis tombée nez à nez avec Haakon, je n’en croyais pas mes yeux. Quelle surprise! Je n’en revenais pas, je me demandais comment cela était possible, moi qui m'étais imaginée le pire et qui ne pensait plus jamais le revoir. 8 ans s’était écoulé, nous avions 20 ans, le plus bel âge dit-on. On était heureux, et on se disait la vie devant nous! Mais on ne savait pas ce que la vie nous réservera, on ne savait pas que l’on se retrouverait tous les deux avec cette vie éternelle devant nous.

Quel bonheur s’était de vivre en ayant retrouvé cet être que je pensais perdu à tout jamais. Cet être auquel je réalisais, au fur et à mesure que le temps passait, être vraiment attaché. Il y avait entre nous quelque chose de fort; une alchimie presque visible à l'œil nu. Mais aucun de nous deux  n’avait osé mettre un mot sur ce qu’on vivait. On était proche, très proche même, mais on préférait vivre l’instant présent sans se poser de question, mais surtout sans oser quoi que ce soit. Surement trop timide pour oser avouer ce qu’on ressentait. Et puis je n’avais jamais vécu cela avant… On ne va pas se montrer les hormones se faisait entendre surtout lorsque ces vampires que je fréquentais se montrait leur amour et appartenance… Mais avec Haakon, c’était autre chose, ce que je ressentais pour lui c’était plus profond et plus délicat. Ce que je ne savais pas alors c’est que c’était de l’amour… Et puis j’ai eu certaines choses à gérer, des choses qu’il m’a fallu encore une fois cacher à Haakon.

En avril 2023, ma vie a pris une tournure à laquelle je ne m’attendais pas. Une fois encore mon père pensant qu’il aurait le temps de m’en parler lorsque je serais prête à devenir une vampire immortelle, ne m’avait pas dit que pour devenir immortelle, il fallait tuer un Lycan. D'ailleurs je ne savais même pas que les Lycan existait avant ça.

J’étais sortie, une sortie comme tant d'autres pour une fête, et en rentrant à la maison, on a tenté de m’agresser… Tant de fois j’avais pris cette rue, tant de fois j’étais passé à cette heure à cet endroit, mais ce jour là une personne s’est mis en tête de m’agresser, moi, une jeune fille, semblait il, sans défense. J’ai bien cru que mon heure était venue, mais mon instinct de survie à été plus fort que moi. À l’instant fatidique où c’était ou lui ou moi. Cet instant où j’ai vu défiler ma vie devant les yeux, mon envie de survivre a été plus forte, que la force de ce colosse. Ma force et mon envie de vivre cette fois s’est décuplée lorsque soudain dans mon cerveau est apparu Haakon. Haakon que j’avais retrouvé depuis bientôt 2 ans et demi, et dont je n’avais pas envie d’être séparé. Pas après s’être retrouvé, après toutes ces années. pas après avoir réalisé son importance à mes yeux. Alors sans réfléchir, je me suis battu telle une bête et je l’ai mise à mort par KO. Mais réalisant que j’avais tué, j’étais traumatisé. C’était la première fois que je tuais quelqu’un, et même si c’était pour sauver ma peau, j’étais traumatisée. Puisque c’était une ruelle, aucune caméra n’avait capté mon carnage, mais je devais couvrir mes trace alors j’ai appeler mon père, qui m’a aider à couvrir cette mort tragique, avant de me faire assoir et de me faire réaliser, ce que cette mort signifiait pour ma nature. Moi qui venait d’activer mon gêne, devenant immortelle.

A cette nouvelle mon être était déchiré, entre le bonheur de retrouver Haakon, et celui de lui mentir et de le voir mourir un jour. Lorsque je l’ai retrouvée le lendemain, il a dû se demander pourquoi je l’avais tenu quelques secondes de plus dans mes bras, respirant son odeur pour m’apaiser. L’avait il capté, avait-il compris qu’il m’était arrivé quelque chose qui m’avait traumatisé. Je ne saurais pas vous dire, mais je ne crois pas…

En sa présence j’étais heureuse, même si au fond de mon regard flottait bien caché cette tragédie qu’était devenue ma vie. Moi qui aurais désiré rester encore humaine, désirant vivre ma vie d’humaine, avec le gène endormis encore quelques années, voire quelques décennies, aimant cette fragilité de la vie humaine, qui rend tout plus intense et fort. Parfois je fermais les yeux quelques secondes furtivement pour me remettre de mes émotions, me répétant que le plus important c’était ces moments passer avec Haakon,parce qu’après tout j’avais le temps de vivre comme si une simple humaine, encore quelques années, sans qu’Haakon ne se demande pourquoi je ne vieillissais pas. Je me concentrais sur lui, essayant de vivre ma vie le plus humainement possible.

Et puis un jour, j’ai bien cru que le sol se dérobait alors que je découvrais qu’une fois encore Haakon avait disparu. Maudissant le ciel de s’acharner ainsi sur moi, me demandant ce que j’avais pu faire pour mériter tout cette souffrance j’ai eu envie de mettre fin à ma vie… Mais mon père, ce grand sage réussi à me résonner en me disant de m’assurer qu’il avait vraiment disparu. Puisque qu’après tout ça ne fait que quelque jours, semaines, mais pas encore un mois, que je ne l’avais pas vue, qu’il me fallait garder espoir. Alors je garde espoir…

Mon père me surprend, car il déteste lorsqu’on est trop sentimentaliste, et que l’on exagère… Je le trouve plus doux avec moi qu’avec les autres… Il a ce je ne sais quoi dans le regard lorsqu’il m’encourage à garder espoir, ce même je ne sais quoi qu’il a dans le regard en pensant à ma mère….

Cela fait depuis la fin août que je n’ai plus de nouvelle de Haakon, que mon cœur s'accélère lorsque je crois entendre sa voix, ou que je me prends à espérer lorsque j’entends la clochette de la porte du bar restaurant que ce soit lui qui soit entré. Je parcours les rues d’Oslo sans but certain jour dans l’espoir de le retrouver, de le voir.
Je suis un peu niaise, mais c’est ma façon de garder espoir et d’aller de l’avant…

⚕︎Pseudo : Althea
⚕︎Âge : 39 ans...
⚕︎Date de naissance irl : 11 avril ⚕︎D'où viens-tu : France, un coin perdu, mais adorable.
⚕︎Scénario : /
⚕︎Présence : Je ferais de mon mieux
⚕︎Comment as-tu connu le forum : Grâce à la fondatrice, et aussi à ma partenaire
⚕︎J'ai bien rempli mon profil : oui
⚕︎Un commentaire ? Je vous adore, et c'est une première pour moi de jouer in forum, un vampire